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Georges de Peyrebrune
Georges de Peyrebrune, de son vrai nom Mathilde-Marie Georgina Élizabeth de Peyrebrune (1841-1917), est une romancière française dont l'oeuvre a marqué la littérature de la fin du XIXe siècle. Née dans une famille aristocratique du Périgord, elle développe très tôt une passion pour l'écriture et une sensibilité aiguë aux inégalités sociales de son époque.
Peyrebrune entame sa carrière littéraire relativement tard, publiant son premier roman à l'âge de 40 ans. Son pseudonyme masculin, choisi pour surmonter les préjugés de l'époque envers les femmes écrivains, ne l'empêche pas de devenir une voix importante de la littérature féminine française.
« Gatienne », l'une de ses oeuvres majeures, témoigne de son engagement pour l'émancipation féminine et de sa capacité à dépeindre avec justesse les moeurs provinciales. Son style, alliant finesse psychologique et observation sociale, lui vaut une reconnaissance croissante dans les cercles littéraires parisiens.
Auteure prolifique, Peyrebrune explore dans ses romans les thèmes de la quête d'identité et des inégalités sociales, offrant un regard critique sur la société de son temps. Son oeuvre s'inscrit dans la tradition du roman d'apprentissage, tout en apportant une perspective féminine novatrice.
Malgré les contraintes imposées aux femmes de son époque, Peyrebrune réussit à mener une carrière littéraire remarquable. Son combat pour la reconnaissance des femmes écrivains et son exploration des thèmes féministes dans ses romans en font une figure importante de la littérature française de la Belle Époque.
L'héritage de Georges de Peyrebrune perdure à travers ses romans, qui continuent d'offrir un témoignage précieux sur la condition féminine et les aspirations des femmes au XIXe siècle. Son oeuvre, redécouverte par les études féministes contemporaines, reste d'une étonnante actualité dans ses questionnements sur l'égalité des sexes et la liberté individuelle.
Peyrebrune entame sa carrière littéraire relativement tard, publiant son premier roman à l'âge de 40 ans. Son pseudonyme masculin, choisi pour surmonter les préjugés de l'époque envers les femmes écrivains, ne l'empêche pas de devenir une voix importante de la littérature féminine française.
« Gatienne », l'une de ses oeuvres majeures, témoigne de son engagement pour l'émancipation féminine et de sa capacité à dépeindre avec justesse les moeurs provinciales. Son style, alliant finesse psychologique et observation sociale, lui vaut une reconnaissance croissante dans les cercles littéraires parisiens.
Auteure prolifique, Peyrebrune explore dans ses romans les thèmes de la quête d'identité et des inégalités sociales, offrant un regard critique sur la société de son temps. Son oeuvre s'inscrit dans la tradition du roman d'apprentissage, tout en apportant une perspective féminine novatrice.
Malgré les contraintes imposées aux femmes de son époque, Peyrebrune réussit à mener une carrière littéraire remarquable. Son combat pour la reconnaissance des femmes écrivains et son exploration des thèmes féministes dans ses romans en font une figure importante de la littérature française de la Belle Époque.
L'héritage de Georges de Peyrebrune perdure à travers ses romans, qui continuent d'offrir un témoignage précieux sur la condition féminine et les aspirations des femmes au XIXe siècle. Son oeuvre, redécouverte par les études féministes contemporaines, reste d'une étonnante actualité dans ses questionnements sur l'égalité des sexes et la liberté individuelle.
Gatienne
« Gatienne » de Georges de Peyrebrune est un roman captivant qui s'inscrit dans la catégorie « Littérature française classique ». Cette oeuvre, publiée à la fin du XIXe siècle, offre un portrait saisissant de la société française de l'époque à travers le destin d'une jeune femme déterminée à s'émanciper des conventions sociales.