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Metge, Florence

Le Club des cinq, Alice, Miss Marple et le capitaine Nemo sont les héros des lectures d'enfance de Florence Metge. Sa passion pour l'écriture a guidé ses choix professionnels et l'a menée dans le monde de la communication scientifique. L'aventure littéraire commence pour elle par la publication d'une dizaine de nouvelles. L'histoire et la géographie tiennent une place importante dans ses récits auxquels elle aime ajouter un zeste de romance.
Son premier roman, " Meurtres en Gévaudan ", revisite la mystérieuse affaire de la bête du Gévaudan à notre époque. Le deuxième, " Du Gévaudan à Versailles : l'emprise de la bête ", nous plonge au XVIIIe siècle sous le règne de Louis XV : on suit à la fois la difficile traque de la bête et le parcours de l'une de ses victimes, invitée à Versailles par le roi.
Florence a longuement étudié ce fait divers devenu affaire d'État. Ses ancêtres vivaient en Gévaudan et en Auvergne au moment des faits. Au cours de ses recherches généalogiques, elle a découvert des archives traitant de l'affaire ainsi qu'un lointain cousin du nom de Jean Chastel, l'homme qui passe pour avoir tué la bête.

La vallée de l'Enfer</a>

La vallée de l'Enfer

Pourrez-vous sortir de l'Enfer ?Après "Meurtres en Gévaudan", le nouveau roman de Florence MetgeLe dérèglement climatique a mené à une politique d'aménagement du territoire favorisant le repeuplement des zones rurales. Un campus en partie souterrain a été construit dans la vallée de l'Enfer en Lozère.

Meurtres en Gévaudan</a>

Meurtres en Gévaudan

Et si la bête était de retour ?Juin 2017, Saint-Chély-d'Apcher, Lozère.Le corps d'une lycéenne est retrouvé en partie dévoré au pied de la statue de la bête du Gévaudan. Ce crime ne tarde pas à évoquer ceux commis dans la région par la mystérieuse créature, 250 ans auparavant.

Du Gévaudan à Versailles : l'emprise de la bête</a>

Du Gévaudan à Versailles : l'emprise de la bête

En 1764, sous le règne de Louis XV, le Gévaudan est ravagé par la terreur : une bête mystérieuse attaque, égorge et tue femmes et enfants. Les méfaits de ce prédateur insaisissable engendrent une véritable psychose collective. Les événements tragiques sont amplifiés par les journaux qui se moquent du roi.