Charles-Louis Philippe
La vie et l'oeuvre de Charles-Louis Philippe, un écrivain du peuple
Charles-Louis Philippe, issu d'un milieu modeste, parvient à se faire un nom dans le monde littéraire grâce à ses récits poignants et réalistes qui mettent en lumière les vies des gens ordinaires. Ses oeuvres, comme "Le Père Perdrix" et "Marie Donadieu", sont connues pour leur style dépouillé et leur empathie sincère envers les personnages marginaux de la société.
Gide explore la vie de Philippe, depuis son enfance difficile à Cérilly, marquée par la pauvreté et la maladie, jusqu'à sa carrière littéraire à Paris. Il décrit comment Philippe, malgré des circonstances adverses, développe une voix unique qui résonne par sa vérité et son humanité. Gide analyse également les thèmes récurrents dans les oeuvres de Philippe, tels que la lutte contre l'injustice sociale, la compassion pour les démunis, et la quête d'une vie authentique.
Ce livre est plus qu'une simple biographie ; c'est aussi une réflexion sur l'importance de l'honnêteté artistique et de la sensibilité sociale. Gide, en admirateur sincère, révèle comment Philippe, par sa vie et son écriture, a touché le coeur de ses lecteurs et a laissé une marque indélébile dans la littérature française.
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Veröffentlichung: | 11.08.2024 |
Höhe/Breite/Gewicht | H 21 cm / B 14,8 cm / 62 g |
Seiten | 32 |
Art des Mediums | Buch [Taschenbuch] |
Preis DE | EUR 10.10 |
Preis AT | EUR 10.40 |
Auflage | 1. Auflage |
ISBN-13 | 978-2-322-54340-3 |
ISBN-10 | 2322543403 |
Über den Autor
André Gide est un écrivain français, né le 22 novembre 1869 à Paris et mort le 19 février 1951 à Paris.
Après une jeunesse perturbée par le puritanisme de son milieu, jeune Parisien qui se lie d'une amitié intense et tourmentée avec Pierre Louÿs, il tente de s'intégrer au milieu littéraire post-symboliste et d'épouser sa cousine. Une rencontre avec Oscar Wilde et un voyage initiatique avec Paul Albert Laurens le font rompre avec le protestantisme et vivre sa pédérastie. Il écrit notamment Paludes qui clôture sa période symboliste et, après la mort « libératrice » de sa mère, ses noces avec sa cousine Madeleine en 1895, il achève Les Nourritures terrestres, dont le lyrisme est salué par une partie de la critique à sa parution en 1897 mais qui est aussi critiqué pour son individualisme. Après des échecs au théâtre, il s'affirme comme un romancier moderne dans la construction et dans les thématiques et s'impose dans les revues littéraires.
Son oeuvre trouve ensuite un nouveau souffle avec la découverte des réalités du monde auxquelles il est confronté. Ainsi, le voyageur esthète découvre l'Afrique noire et publie en 1927 le journal de son Voyage au Congo, dans lequel il dénonce les pratiques des compagnies concessionnaires mais aussi celles de l'administration coloniale et l'attitude de la majorité des Européens à l'égard des colonies. Au début des années 1930, il s'intéresse au communisme, s'enthousiasme pour le régime soviétique, mais subit une désillusion lors de son voyage sur place à l'été 1936. Il publie son témoignage la même année, Retour de l'U.R.S.S., qui lui vaut de virulentes attaques des communistes. Il persiste cependant dans sa dénonciation du totalitarisme soviétique au moment des procès de Moscou et s'engage, parallèlement, dans le combat des intellectuels contre le fascisme.
En 1940, il abandonne La Nouvelle Revue française et quasiment l'écriture en se repliant sur la Côte d'Azur, puis en Afrique du Nord durant la guerre. Après le conflit, il est mis à l'écart de la vie littéraire, mais honoré par le prix Nobel de littérature en 1947, et il se préoccupe dès lors de la publication intégrale de son Journal. Il meurt le 19 février 1951.